De manière générale, j’étudie la réponse des plantes et des communautés végétales aux perturbations. Mes recherches s’organisent autour de trois axes :

(1) Dans un contexte de changements globaux, j’analyse la réponse des plantes à des stress abiotiques, notamment la sécheresse et la pollution des sols par les métaux lourds.

(2) Je m’intéresse aux interactions entre espèces, en particulier aux effets que la présence d’une espèce peut avoir sur les communautés végétales et microbiennes.

(3) J’évalue l’impact des mesures agro-environnementales sur la biodiversité, en mettant l’accent sur la flore des parcelles agricoles.

Pour répondre à ces questions, je mène des expérimentations en conditions contrôlées (serres, phytotrons) et en milieu naturel (forêts). J’utilise les traits fonctionnels et l’isotopie stable pour étudier le fonctionnement des plantes. L’étude des communautés végétales repose sur des relevés floristiques, tandis que celle des communautés microbiennes s’appuie sur des collaborations avec des microbiologistes.